Le PVC est reconnu en chimie comme étant un matériau plastique qu’on appelle polychlorure de vinyle ou chlorure de polyvinyle. Il a été découvert en 1835 par le physicien français Victor Regnault et sa production industrielle a débuté en 1935.
Dans l’industrie, il existe quatre types de PVC :
- Le PVC rigide, principalement utilisé dans le bâtiment pour la confection des canalisations ou des fenêtres et portes.
- Le PVC expansé, connu sous le nom Forex, pour la fabrication d’enseignes.
- Le PVC souple qui sert à fabriquer certains revêtements de sol comme le parquet PVC
- Les films de PVC comme le film étirable ou les films adhésifs utilisés dans le marquage publicitaire.
De nos jours, le PVC est l’une des matières plastiques les plus utilisées, mais les avis divergent sur ses effets sur la santé humaine et sur l’environnement.
Ses promoteurs le voient comme un matériau sain, que l’on peut utiliser sans risque dans le secteur sanitaire : gants chirurgicaux, poches à sang, tubes souples pour la transfusion sanguine ou encore conditionnement des bouteilles d’eau, etc. Selon ses fabricants, le PVC est chimiquement stable et il ne libère aucune émanation pouvant être nuisible pour la santé. De plus, il répond à des normes environnementales précises à cause de son utilisation dans le secteur du bâtiment.
Le PVC occupe aujourd’hui, au Maroc une importance dans la menuiserie marocaine car ce choix n’est pas sans conséquence. Il présente de nombreux avantages; il est par nature isolant. Aussi, si vous souhaitez donner de l’esthétisme à votre résidence, les portes et fenêtres répondent à un certain nombre d’exigences en matière de performances thermiques, de résistance et d’entretien. Votre choix se portera donc sur les normes et les matériaux avant tout, mais, qui ne doivent cependant en aucun cas lésiner le design.
Pour toutes ces raisons, la société de menuiserie PVC MAROC PRO se porte disponible pour les services de pose de vos portes, pose de vos fenêtres et pose de parquets sur mesure dans toutes les villes du Maroc.
